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[Elephant Films] Edition française officielle - Demain Est Un Autre Jour - Combo Blu-ray + DVD 6b184p
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Genre | Drame |
Format | Cinémascope |
Contributeur | Jane Darwell, Barbara Stanwyck, William Reynolds, Gigi Perreau, Fred MacMurray, Douglas Sirk, Pat Crowley, Joan Bennett, Race Gentry Voir plus |
Langue | Anglais |
Durée d’exécution | 1 heure et 24 minutes |
Studio | Elelphant Films |
Couleur | Noir et blanc |
Nombre de disques | 2 |
Fabricant | Elephant Films |
Produits fréquemment achetés ensemble 5n2d3r
![[Elephant Films] Edition française officielle - Demain Est Un Autre Jour - Combo Blu-ray + DVD](https://image.staticox.com/?url=https%3A%2F%2Fimages-eu.ssl-images-amazon.com%2Fimages%2FI%2F61R3PQ5dG6S._AC_UL116_SR116%2C116_.jpg)
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Description du produit 5i3f66
Nouveau master restauré Haute Définition
Jaquette réversible avec affiche originale
Contient :
- le Blu-ray du film (84')
- le DVD du film (81')
- un livret collector rédigé par Louis Skorecki
Détails sur le produit 284pt
- Rapport de forme : 1.85:1
- Dimensions du colis : 17,5 x 14 x 1,5 cm; 100 grammes
- Réalisateur : Douglas Sirk
- Format : Cinémascope
- Durée : 1 heure et 24 minutes
- Date de sortie : 26 mars 2019
- Acteurs : Barbara Stanwyck, Fred MacMurray, Joan Bennett, William Reynolds, Pat Crowley
- Sous-titres : : Français
- Studio : Elephant Films
- ASIN : B07NRFGFRG
- Pays d'origine :
- Nombre de disques : 2
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 32 040 en DVD et Blu-ray (Voir les 100 premiers en DVD et Blu-ray)
- 1 829 en Romance (DVD et Blu-ray)
- 10 496 en Drame et émotion
- 10 893 en Blu-ray
- Commentaires client :
Commentaires client 6t6x1b
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Meilleures évaluations de 192n6p
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5,0 sur 5 étoiles Excellent 465i3i
Toute cette réédition de Douglas Sirk sous titrée montre à quel point ce cinéaste fut le meilleur observateur et critique de l'américan way of life des années 50-60. Bons commentaires des érudits du cinéma.
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4,0 sur 5 étoiles demain est un autre jour 69p23
bonne prestation de Barbara Stanwyck, la qualité du DVD est parfaite.
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2,0 sur 5 étoiles Entre j'aime et j'aime pas 6h335
Comme (presque) toujours avec Douglas Sirk, on a droit à un film bien réalisé (scénario, photos...) qui vous plonge dans une histoire attrayante.
Dans ce cas-ci, le sujet "banal" est celui d'un honorable père de famille qui retrouve une ex dans un moment charnière de son existence.
Pour l'époque puritaine du tournage du film, ce sujet est déjà un scandale. Aujourd'hui, cela nous paraît pourtant désuet.
Il est donc important, en regardant ce film, de se remettre dans le contexte de l'époque. Et dans ce cas, l'intrigue tient ses promesses.
Si vous aimez les vieux films de ce genre, je suppose que ce sera le cas.
Pour ma part, j'ai été assez déçu du manque d'originalité du scénario sur la fin.
Mais peut-être n'ai-je pas assez assimilé les "non-dits" du film.
Au risque de me répéter, il faut se remettre dans l'époque du film.
Quant à la réalisation, je n'ai absolument rien à dire.
(Encore une fois, j'aimerais plus de subtilité chez amazon entre le "j'aime pas" et le "j'aime")
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5,0 sur 5 étoiles Sirk 1r655n
Superbe film de Douglas Sirk. Un génie du mélo dramatique.
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5,0 sur 5 étoiles Une merveille 2o5937
Ce film est une absolue merveille, grâce à ses acteurs et à son cinéaste Douglas Sirk, un des meilleurs pour moi....
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4,0 sur 5 étoiles Le blues du businessman i3e3i
Prospère homme d'affaires, Mr Groves a une belle femme, une belle maison et de beaux enfants. Reste que quand réapparaît sur son chemin une ancienne maîtresse, il mesure la vanité de son bonheur si futile : Mr Groves est désespérément seul et sa fonction de paterfamilias semble limitée à sortir son carnet de chèques. Alors aura-t-il le courage d'abandonner femmes et enfants pour rebâtir autre chose ?
Histoire si banale que celle de Mr Groves... Le mérite de Douglas Sirk est de sertir cet ordinaire épisode d'une description au scalpel de l'american way of life, l'accent étant ici mis sur la révolte des enfants qui pressentent la désertion paternelle et iront faire pression sur la femme qui introduit la discorde dans le foyer pour revenir au tranquille train-train, à l'hypocrisie d'un bonheur affiché et si factice. Le piquant de l'histoire est aussi de retrouver le couple terrible d'Assurance sur la mort dans ce bel exercice de moeurs. Ils sont naturellement remarquables. En littérature, ç'aurait été une belle et courte nouvelle d'Updike ou Cheever. Le noir et blanc retenu par Sirk sied à la modestie du projet.
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5,0 sur 5 étoiles La poésie élégiaque de Sirk. 156c2i
Après avoir réalisé "Le secret magnifique" et "Tout ce que le ciel permet", Douglas Sirk revient sur une note plus sombre, plus feutrée. Avec "There's Always Tomorrow" nous sommes dans le mélodrame de la nostalgie, celui des "si j'avais su" et "des choses qui auraient été différentes si"... C'est alors avec une suprême élégance que le cinéaste dépeint le comportement d’un homme retrouvant une amie, laquelle vingt ans plus tôt, s’était amourachée de lui. Dès lors, il prend conscience des rudesses de son quotidien, du comportement de sa femme et de ses enfants qui non seulement le négligent mais très souvent l'ignorent…
La description de cette cellule familiale apparaît tour à tour comme un modèle de bonheur et comme une institution étouffante ; une sorte de répression aliénante au décor provincial. Par ailleurs, Sirk ironise habilement sur la bourgeoisie californienne qui n'est pas très tendre avec sa jeunesse présentée ici comme futile et remplie de préjugés.
Entretenant de toute évidence des rapports étroits avec "All I Desire", nous retrouvons l’interprétation sans faille de Barbara Stanwyck dans le rôle d’une femme libre souhaitant briser l'oppression de cet esclavage domestique. Les initiales du personnage sont d'ailleurs identiques aux deux films : à Naomi Murdoch succède Norma Miller... Quant aux prénoms, et spécifiquement chez Sirk, ils ne doivent jamais rien au hasard. Après avoir effectué quelques recherches sur leur origine et leur signification, j'ai découvert des éléments autant troublants que révélateurs - Naomi signifie "sans avenir" et Norma vient du germain "north" et "man" (Nord et homme). Les Norma se distinguent par une absence total d'introversion et par une attention toute particulière envers autrui. Leur séduction est puissante mais elles ne cherchent pas à charmer avec les mêmes armes que les autres femmes. Plus précisément, les Norma sont dotées d'une intelligence de type synthétique qui leur permet de prendre conscience rapidement de l'ensemble des problèmes et de faire face à des situations souvent inextricables. Conservant en outre une mémoire affective de très grande qualité, elles sont pourvues d'un réel sens de l'amitié. Pour elles, rien de mieux que de pouvoir illuminer une âme triste ou solitaire... Enfin, le prénom "Clifford" se caractérise par l'indécision dans la décision, dans le comportement. Les Clifford ne manquent pas pour autant de volonté, ils ont juste un peu de mal à trancher. Leur ténacité est faible, ils ont donc parfois tendance à se laisser porter par les événements, et ça leur convient parfaitement.
On constatera que les grands cinéastes se distinguent généralement par la charge significative de ces petits détails, le plus souvent imperceptibles aux néophytes mais qui révèlent un raffinement et une justesse horlogère, poussant parfois l'analogie au paroxysme de l'abstraction. En cela, l'ironie de Sirk se manifeste dès le titre original qu’on pourra traduire par "Il y a toujours un lendemain" dont l'optimisme rappelle "Tout ce que le ciel permet" mais qui sera battu en brèche à travers ce conte de fées à rebours...
On retrouvera donc ici les nostalgies croisées de "All I Desire".
Clifford Groves, interprété par Fred Mac Murray, incarne ce qu'on peut appeler "le réalisme métaphysique" - Une stature solide à la Rock Hudson - une apparence d'inexpressivité voire de langueur - marié à Joan Bennett et père de trois enfants - ayant indéniablement réussi dans sa vie privée comme dans son parcours professionnel (il fabrique et commercialise des jouets), symbolisant à lui seul, la puissance et le manque d'imagination des classes moyennes supérieures, entendez "possédantes". La femme au contraire, Norma Miller (Barbara Stanwyck), affiche une sensibilité frémissante, bien que retenue. Elle a fait carrière mais semble avoir raté sa vie. Son mariage a échoué - elle est seule - dirige une maison de couture - dessine ses propres vêtements et se meut avec une extrême élégance dont Mac-Murray balourd est incapable.
Chacun des deux personnages se fait du bonheur une idée qui le lui rend impossible. Pour Clifford, il s’agit d’échapper au foyer - pour Norma, de partager le bonheur familiale des Groves. En d’autres termes, le personnage réaliste éprouve la tentation du romantisme - le personnage romantique, celle du réalisme.
L’ambiguïté du scénario, sa richesse aussi, permet au spectateur d'y trouver au gré de sa sensibilité, un éloge de l’amour ion et de la famille. Les deux attitudes à la fois complémentaires et contradictoires y sont montrées comme inextricablement liées - chacune se nourrissant du rêve ou de la nostalgie de l’autre. Cette précision scénaristique et cinématographique ne nous fait grâce d’aucuns détails, énumérant le décor qui étouffe Clifford Groves à travers la voix lancinante et creuse de Joan Bennett, sa légitime. C’est alors le théâtre d’un gigantesque piège où derrière chaque plante verte se dissimulent des enfants espions. Un thème "sirkien" constant reparaît dans le traitement des enfants Groves. Loin qu’ils désignent, comme il est habituel, le vœu au moins pieu qu’une nouvelle génération échappe aux pesanteurs empêchant jadis leurs aînés de connaître un vrai bonheur, mais ils constituent ici le véritable reflet non déformé mais grossi des parents. Il en allait de même avec "Tout ce que le ciel permet" où le fils aîné était précisément dans l’un et l’autre film interprété par William Reynolds. On retrouve aussi Gigi Perreau, la fillette des comédies familiales ainsi que Judy Nugent, celle du « Secret Magnifique ».
Tandis qu’on entend une dernière fois « Blue Moon » joué au limonaire, Clifford Groves regarde derrière la grande baie vitrée l'avion qui ramène Norma Miller à New York. Par contraste, ce traditionnel et lisible symbole de l’évasion ne servira qu’à mettre en exergue la similarité de Mac Murray avec les robots qu’il fabrique. Belle métaphore en signe de reddition, faisant subtilement découvrir les fêlures de ces vies apparemment triomphantes que seul Douglas Sirk savait vraiment transposer à l’écran.
Enfin, le choix des acteurs contribue pleinement aux atmosphères tourmentées. Chacun se souvient en effet que Fred Mac-Murray et Barbara Stanwyck avaient partagé la vedette dans "Assurance sur la mort" de Billy Wilder, un des archétypes du film noir américain. Auparavant, ils avaient tourné ensemble dans " The Night" et déjà, l’homme y incarnait aux yeux de l’actrice plus aventureuse, l’idéal d’un bonheur domestique. Si bien qu'on n’est pas choqué ni surpris de les voir à nouveau réunis. Mais comme des rides sur un visage, leur âge et leur connivence soulignent l’aspect irréel et mélancolique de l'histoire. Comment "demain" pourrait-il exister encore pour ces vedettes manifestement venues d’hier ?... Peu nous importe. Savourons plutôt au présent ce mélo inoubliable et troublant à défaut d’être flamboyant.